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Le blog du sculpteur Jacky Kooken

1.6 ARTICLES DE PRESSE

Né à Paris où il vit et travaille, il fait ses premiers pas de sculpteur sous la direction de son père, avant d’entrer dans l’atelier du statuaire François en 1980. En 1987, il est lauréat du Prix A. Neuman prix international décerné par le Musée d’Art Juif de Paris et reçois également le Grand Prix Rubens, de L’asociacion Belgo-Hispanica et de la revue artistique Belge Apollo. Il participe à de nombreuses expositions collectives et expose dans plusieurs galeries parisiennes.

 

Jacky Kooken travaille la pierre, le marbre et le granit et privilégie la taille directe, qui exprime au mieux la sensibilité et la chaleur impulsive de l’artiste. A la recherche d’une autre voie que celle empruntée par Rodin, il se tourne vers la tradition des tailleurs de pierre et sculpteurs de nos églises romanes. Il cherche la sobriété, sculpte et simplifie le corps humain, pour n’en retenir que l’âme, l’essentiel.

On voyage avec lui à l’intérieur de ces êtres, on pénètre dans ces âmes, pour notre grand bonheur.

 

Mareyk Goyffon.

Musée atelier ADZAK- International Art Space 15/10/1997-06/11/1997

 

 
      

Exposition au Cloitre des Billettes.

 

  

Ce tailleur de Pierre authentique n'en finit pas de nous enchanter par sa personnalité rayonnante.

Sculpteur de la tradition Jacky Kooken est aimé des collectionneurs privés. Il a reçu plusieurs nominations et distinctions, l'une de ces œuvres fait partie de la collection du musée d'art juif à Paris. Homme de culture, Jacky Kooken a également développé un site personnel riche d'enseignements:

 

Karine Salacrou – Mains 2003

 

 

Jacky  Kooken, sculpteur. Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir été dompteur de fauves, de porter des bacchantes ou de manier la massette, mais il y a dans ses oeuvres une étonnante concentration d'énergie alliée à une surprenante sérénité.

 

Gilles Caradec – Galart 2001

 

 

 

..Plasticien d'une forme évoluée par une synthèse de simplification, Jacky KOOKEN révèle une prédilection pour créer en taille directe, ses sculptures de conception violente et irréversible s'avèrent intemporelles par la matière comme par le sujet.....

 

Vallobra Littérateur (revue artistique Belge Appolo janvier 1988)

 



Exposition au Centre Culturel du Ministère des Finances de Bercy

 


Il faut s'arrêter devant chacune, prendre le temps de saisir l'expression sensuelle qui se dégage alors de ces sculptures, blocs, masses par lesquelles transpire l'émotion qui nous lient..... Celle la même qui ne saurait se partager sans le temps partagé entre nous et l'artiste.

 

Tudaur (Art-Kanal 1997)

 

 



Portes ouvertes de l'atelier 1998

 

L'ange en repli, en méditation, prépare son envol, condense sa fièvre pour une existence d'éveil. A regarder comme en prière, jusqu'à ce que sourde la lumière.

 

Colette Klein (Cloitre des billettes 1997)

 

 

 

Vibrations spirituelles

 

L'essentiel de la sculpture de Jacky Kooken se nourrit d'idéal roman et de substance fermée de forme anatomique, qu'ensuite il fusionne avec la chaleur impulsive de la taille directe ; il pénètre la matière jusqu'à ce que ces deux principes s'intègrent complètement  l'un l'autre, et figent ce dualisme dans la simplification artificielle du raccourci, faisant des formes du corps de purs symboles de fuite vers un songe surnaturel.

 

Loin des suiveurs stériles du génial Brancusi qui usinent des formes abstraites jusqu'à l'appauvrissement plastique, il tend à dissoudre la substance charnelle des courbes pour les substituer en vibrations spirituelles. Il cherche ainsi à imposer au mouvement une valeur durable, un point d'orgue figé dans la stabilité dense du marbre intemporel : la pesante et rayonnante matière tire vers le bas, le sujet aspiré vers le haut par les énergies supérieures. Cette lutte opposant l'une et l'autre de ses composantes s'équilibre dans l'unité du bloc. Malgré sa vision virtuelle et dévorante, l'œuvre, souvent assise, contient une passion débordante, celle-ci reste toujours cristallisée dans un mouvement d'équilibre méditatif ou de repos relatif, soupir suspendu sur la portée d'éternité.

 

Jacky Kooken est un passionné doué de ressources physiques peu communes, il refuse toute mécanisation de la taille. Loin des modes, il crée pour le long terme, mû par une joie juvénile, s'acharnant avec elle, par delà la fatigue, mais s'interrompant dès que celle-ci laisse place au laborieux. Son approche mystique de la taille issue de la tradition des entailleurs d'images de nos belles cathédrales, donne à ses sculptures un magnétisme indubitable, invitation à la caresse, qu'il ne faut point bouder car ce plaisir nous est trop souvent refusé. Ce n'est pas un hasard si son marbre, lauréat du Prix Neuman 1987 fait toujours le bonheur de la collection du Musée d'Art Juif de Paris.

 

Rendez-vous Espace Chatelet Victoria, le 17 avril en ouverture de l'exposition du peintre Japonais Teruo Takahashi et du sculpteur Jacky Kooken avec le concert du pianiste virtuose Nicolas Celoro : instants rares et quintessence en perspective.

 

L. Rantanen. Artension 1996.

 

 

JACKY KOOKEN

À LA GALERIE 89 

 

Passionné et mystique, Kooken frappe la pierre comme on cherche le Graal.

Il travaille la matière ( pierre, marbre ou granit) avec une euphorie juvénile et sauvage qui lui fait oublier toute fatigue. Aujourd’hui, la plupart de ses confrères utilisent des machines, mais lui refuse cette mécanisation : «  Qui pourra dire le plaisir du coup de massette qui sonne dans le marbre comme un battement de cœur ? », s’émerveille-t-il... Il y a une métaphysique de la joie chez Kooken. Doté d’une force physique exceptionnelle, l’artiste transmet ce trop-plein d’énergie vitale et sa chaleur impulsive à ses œuvres qui rayonnent dés lors d’un magnétisme rare…

 

Kooken exprime avec tendresse et ferveur sa judaïté. Prix Neuman pour une « Menorah étoilée » qu’il dédia à son père et qui fait toujours le bonheur de la collection du Musée d’Art juif de Paris, Jacky aime à sculpter des « Aleph », des « Figures d’Anges » ou des « Chandeliers à Sept branches »… Il reçut également le Grand Prix Rubens en Belgique ainsi que le Prix de la Biennale de Malte.

 

Toutes ses sculptures sont une véritable invitation à la caresse. La pierre pour lui est voluptueuse. Le plaisir d’aimer se transcende dans celui de la création plastique… Pour un homme aussi intensément travaillé par la spiritualité que par les sens, la sculpture était le langage idéal par excellence. Kooken ne pouvait être que sculpteur… D’ailleurs il aime les Anges et les Anges le lui rendent bien. Il se plait à dire que dans sa vie, les anges déchus ont été vaincus et il croit très fort en son Ange Gardien qu’il porte toujours autour du cou… Anges et Femmes se partagent son imaginaire. Parfois les deux confondus. Voyez (… et surtout n’hésitez pas à caresser !..) « L’ange bleu, « Icare », « Voie Lactée », « L’envol », « Elévation »…. toutes ces somptueuses sculptures nous parlent de sacré autant que d’érotisme.

« Le coup de massette, c’est le rythme. Le rythme c’est le souffle, et le souffle c’est l’âme non entravée dans sa capacité de jouir… » Telle est la profession de foi de ce sculpteur-poète qui fut autrefois dompteur aux côtés de son père, Pablo. Celui-ci excellait dans tous les arts sans en approfondir aucun. Jacky apprit de lui la sculpture en même temps qu’il partagea sa passion pour les fauves… Mais c’est une autre histoire (voir son site www.kooken.net) !

Jacky Kooken, artiste attachant et iconoclaste, exposera à Miami en septembre prochain..

 

Monique AYOUN

Journaliste et écrivain

 

 

communiqué de presse pour l'exposition 2011

communiqué de presse pour l'exposition 2012

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